TEST : Le réhausseur Babymoov

Eh oui ! Le temps passe et vite… Il a bien fallu que je me rende à l’évidence. La chaise haute n’était plus nécessaire pour mon Mini Lion. En plus, côté praticité, je vais bientôt en avoir besoin pour Babychou.
Mais bon, même si Mini Lion est grand pour son âge, il est quand même trop petit pour utiliser une de nos chaises telles quelles, la table lui arrivant au menton. Pas pratique pour manger…

Dû à mon coté chauvin, j’adore la marque Babymoov. Ben oui, ils sont basés à seulement quelques kilomètres de chez moi. Je me suis donc naturellement tournée vers leur produit et ai acquis leur réhausseur avec tablette.

Points forts :
– s’adapte à quasiment toutes les chaises grâce à ses 2 sangles (on en passe une derrière le dossier et une sous l’assise)
– très stable grâce à ses patins antidérapants
– relativement confortable (Mini Lion ne s’est jamais plaint)
– assise réglable en hauteur (3 positions possibles), tablette réglable en profondeur (3 positions également)
– peut être utilisé avec et sans tablette
– facilement pliable et transportable pour l’embarquer lors des repas de famille ou chez des amis, voire même au resto si t’es pas sûre d’obtenir une chaise adaptée
– plastiques facilement nettoyables
– possède une ceinture 3 points pour bébé

Points faibles :
– sa grande tablette a une surface utile trop étroite, on ne peut pas y déposer une assiette (mais pas de souci avec les petits pots 😉)
– les miettes s’accumulent entre le siège et les accoudoirs, et il est nécessaire de tout démonter pour pouvoir nettoyer

– la ceinture en nylon ne s’enlève pas facilement, or dans le cas où ton bébé vomit (ce qui arrive malheureusement un peu trop fréquemment à Mini Lion ), il faut bien nettoyer. C’est possible mais bien galère.
– le siège est préconisé pour un bébé de 6 à 36 mois. Pour ma part, je trouve que pour un bébé de 6 mois, le confort est un peu sommaire et nécessite une position assise trop droite.

Voilà, je pense avoir fait le tour. Globalement, malgré les quelques petits défauts, je reste satisfaite de mon achat, d’autant plus que le prix est raisonnable (30-40€ suivant les magasins).

Et toi ? Comment tu as fait ? Es tu passé aussi par la case réhausseur ?

Le Cuisine Companion

Les robots de cuisine sont apparemment très en vogue actuellement.
Paraît il que c’est parce qu’on recherche à faire les choses par nous – mêmes. Si c’était vraiment le cas, on reprendrait poêles et casseroles, et on retrousserait nos manches. Moi je dis que c’est plus pour contrôler ce qu’il y a dans nos assiettes, tout en se faisant le moins chier possible. Ben oui, faut avouer que passer 4h pour cuisiner un plat, c’est plus vraiment notre truc à notre génération. Et puis comment on fait entre nos jobs, nos activités, les maris, les gosses et leurs activités ??? Ben on fait pas ! Donc dans ce contexte, les robots cuisiniers deviennent les nouveaux meilleurs amis des mamans actives (et des autres 😉).

J’ai depuis quelques années dans l’idée de faire l’acquisition de l’un d’eux. Je suis en contact mail (bon ok, je reçois juste ses newsletters, rien de plus 😝) avec une démonstratrice/vendeuse du Dieu ultime Thermomix sans avoir jamais participé à une réunion ou en avoir organisé une. Jusqu’à maintenant, j’ai résisté à la tentation. J’ai réussi à me raisonner quant au prix, que pour le moment nous avions d’autres priorités…

Seulement ces belles résolutions sont sur le point de se casser la gueule. J’ai été invitée par une enseigne d’hypermarché (en tant que détentrice de la carte de fidélité) à une démonstration du super concurrent (en tout cas, il s’auto-positionne en tant que tel :roll:) de Thermomix, le Cuisine Companion de Moulinex.

Alors je vais commencer par avouer qu’avant la réunion, je n’avais aucune idée de ce que le Cuisine Companion pouvait être et valait en tant que robot. C’est donc sans a priori que je me suis rendue à la fameuse réunion.

La démonstration a duré 1h30. Nous avons réalisé 1 risotto, des îles flottantes et un sorbet à la framboise.
Je faisais partie d’un groupe d’une quinzaine de personne de 25 à 70 ans environ.
La « formatrice » a commencé par les données techniques : bol de 2,5 l, puissance moteur de 550 W, puissance de chauffe de 1000 W.

Esthétiquement, le Cuisine Companion est plutôt sympa : tableau de commandes accessible, coloré (une couleur pour chaque fonction), ergonomique.

Nous sommes rentrés très rapidement dans le vif du sujet. Nous ne pouvions pas manipuler le robot à 15, évidemment, et personne ne se proposant, je me suis portée volontaire pour le risotto. J’ai été bluffée par la rapidité de réalisation : le risotto à été fait en moins de 30 mn et sans avoir besoin de faire grand chose !  J’ai trouvé l’utilisation du robot très intuitive et « facile« , à tel point, que les autres participants m’ont soupçonnée d’être payée par le groupe Seb pour la démo… Bon il faut dire que j’ai toujours été relativement douée avec les objets techniques, mais quand même.

Il dispose de plusieurs accessoires de série : un « couteau » pétrin, un hachoir, un mélangeur et un batteur, un bol pour la cuisson à la vapeur et une spatule.

Il est aussi livré avec un recueil de recettes plutôt bien fait : 100 entrées, 100 plats, 100 desserts, soit 1 million de combinaisons possibles. Le gros avantage est de pouvoir afficher la totalité de son menu sur la même page, plus besoin de jongler, de salir, de se perdre…

Le Cuisine Companion sait à peu près tout faire à notre place : il découpe, hache, mixe, cuit, pétrit, mélange, mouline, mijote… Tout sauf râper et découper en rondelles. Encore qu’on nous a annoncé la sortie d’un accessoire courant Décembre 2015 qui permettrait de le faire.

Pour la simplicité d’utilisation, Moulinex a prévu des programmes adaptés : sauces, soupes, mijotage, cuisson vapeur, pâtisserie (tout ce qui est pâte), desserts. Change le programme, et c’est la température et la durée de cuisson qui changera, la vitesse des lames et les séquences de découpage. Donc c’est important de ne pas se tromper, mais en même temps, on peut difficilement. Par contre, on peut tout à fait interrompre un programme pour passer en mode manuel. Et moi, j’ai aimé cette flexibilité d’utilisation.
A la fin des programmes de cuisson, le Companion se met automatiquement en mode maintien au chaud.

Niveau sonore, tous les participants à la réunion se sont fait la réflexion qu’il était très peu bruyant. On l’entendait à peine (sauf pour mixer les framboises surgelées, mais bon, je suppose que c’est normal).

La crème anglaise a été réalisée avec autant de facilité que le risotto. Sur cette réalisation, nous n’avons pas goûté la crème anglaise faite par nos soins car ça demande un peu de repos. Nous avons donc dégusté celle du groupe précédent (plusieurs réunions avaient été prévues sur 3 jours) qui était passé le matin même, et nous l’avons trouvé très bonne.

Je fais l’impasse sur le sorbet framboise, réalisé en 5 mn chrono, très simplement et très efficacement.

En conclusion, pour ma 1ère réunion de robot cuisinier, j’ai été relativement séduite et ça m’a conforté dans ma décision d’en faire l’acquisition d’un, prochainement. En plus, le tarif du Cuisine Companion m’a plutôt fait de l’oeil (comparé au Thermomix) : 699 €. Il ne me reste plus qu’à assister à une réunion Thermomix pour pouvoir vraiment comparer (chose qui va arriver très vite !).

Et toi ? Tu as craqué ? Pour quoi ? tu en es content(e) ?

Le dépistage du diabète gestationnel

J’ai été bouleversée par les récents attentats, mon article était prêt et je me suis demandé si je devais le faire paraître. Tout ça me semble dérisoire. Mais j’ai décidé de ne pas oublier, de lutter mais surtout de continuer à vivre. Car s’arrêter serait avouer la victoire de ces terroristes… Je ne suis pas non plus journaliste ou politicienne pour pouvoir parler de ces évènements. Je n’y étais même pas. Alors j’ai décidé de laisser paraître mon billet, tel qu’il était prévu (à part ce paragraphe bien sûr !). Que tu sois d’accord ou non, j’espère que tu comprendras…

En tant que personne en léger surpoids en « temps normal » et ayant des antécédents de diabète gestationnel (rappelle-toi, je t’en parlais ICI), autant te dire que je suis sous haute surveillance pour cette nouvelle grossesse. J’ai le droit à ma prise de sang à jeun, ainsi qu’un petit prélèvement urinaire tous les mois afin de surveiller le taux de glycémie.

Pour l’instant, j’ai réussi à passer entre les mailles du filet en respectant quelques conseils donnés par ma sage femme :

• respecter un jeûne de minimum 12 heures entre le dîner et la prise de sang
• ne pas manger trop sucré et trop lourd pendant le dîner en question

Ça peut sembler évident au premier abord, mais ce sont des informations que je n’avais pas eu lors de ma précédente grossesse. C’est d’ailleurs sûrement pour ça qu’un diabète avait été détecté très tôt (3 mois). Bon, ça m’avait permis d’éviter le test au glucose qui se fait durant le 6ème mois, et je n’étais pas mécontente de ce point.

Mais cette fois, comme je l’ai dit, je suis passée entre les mailles du filet. Bien que mes taux de glycémie à jeun étaient un peu élevés, ils restaient en-dessous du seuil du diabète gestationnel. C’est donc avec appréhension et sans trop d’espoir que j’ai eu droit au test de l’OMS.

Alors qu’est ce que c’est exactement ? Et en quoi ça consiste ?

Il faut savoir que ce test a plusieurs noms, mais qu’il ne s’agit pas tout à fait des mêmes modalités.

• Test d’O’Sullivan : il ne nécessite pas d’être à jeun et ne demande qu’une seule prise de sang. Ce test ne se fait d’allers plus car il est considéré comme peu précis puisqu’il provoquait de faux positifs.
• Test OMS ou HGPO 75 : cela signifie « hyperglycémie provoquée par voie orale ». Ce test permet de relever la glycémie à jeun, puis à 1 heure et 2 heures d’intervalle après avoir avalé une bonne dose de sucre (75 g) diluée dans un peu d’eau. Voilà maintenant les 3 valeurs seuils à ne pas dépasser à chaque prélèvement : à jeun, 0,92 g/l ; à 1 heure, 1,8 g/l ; à 2 heures, 1,53 g/l.

Toutes celles qui l’ont déjà passé te diront que c’est simplement « dégueulasse« .

Pour ma part, je n’irai pas jusque là. J’ai trouvé l’absorption en elle-même assez aisée. Le goût du sucre reste le goût du sucre. Cela m’a rappelé lorsque je croquais 2 ou 3 morceaux de sucre quand j’étais petite au moment du café dans les repas de famille. Non, le pire est cette sensation qui vient après, entre nausée et brûlure d’estomac. Rien qui nous force à nous tordre mais c’est juste très désagréable. De mon côté, une fois mon estomac rempli au retour à la maison, cette sensation a très vite été oubliée…

J’ai eu les résultats du test rapidement, aux alentours de 17 heures le jour-même. Et là, à ma grande surprise, toutes mes valeurs étaient en-dessous des seuils ! Youhou ! Moi qui me demandais comment j’allais pouvoir adapter les recettes d’hiver… Eh oui, l’impasse sur les sucreries, ça, pas de problème ; mais limiter les féculents (pommes de terre comprises) devient compliqué, à mon sens, en hiver. J’étais donc sauvée !

J’ai cependant eu l’appel de mon médecin le lendemain qui m’a rappelée à l’ordre. En effet, bien qu’en dessous des seuils, mes valeurs restent hautes, et surtout, elles n’ont baissé que de 0,01 g entre la 1ère et la 2ème heure. Je n’élimine donc pas très bien. Sans voir de diabétologue et me piquer 6 fois par jour, je dois reprendre l’usage de mon lecteur glycémique une fois de temps en temps, et surtout faire un peu attention à mon alimentation. Rien de drastique, heureusement. Je pense donc que je pourrai survivre. Il en va de ma santé et de celle de notre futur bébé.

Les veilleuses Pabobo

Chaque parent cherche à améliorer la qualité de ses nuits, ce qui passe inévitablement par la qualité des nuits de son enfant.
Actuellement, Mini Lion a une grande peur qui est venue subitement. Il est persuadé que dans chaque coin noir, vit un ours polaire et ça le terrifie énormément. On ne parle pas de loup ou même d’ours brun… Que nenni ! Ceux là ne sont que du menu fretin pour lui à côté de l’ours polaire… La Terre a dû subir une invasion à notre insu car il semble vraiment y en avoir partout ! Va comprendre…

En tout cas, en ce moment, plus que jamais, mon Mini Lion a besoin d’une veilleuse.
Bon OK, ça fait un bon bout de temps qu’on en utilise mais elles se sont révélées indispensables ces derniers temps.

Alors qu’avons-nous à présenter ? 2 produits que je trouve géniaux de chez Pabobo (oui, je gâche un peu le suspense, mais bon).

Tout d’abord nous avons investi dans le Lumilove Pingouin

C’est une veilleuse de bonne dimension avec, il faut l’avouer, un design trop craquant. Il existe aussi en rose mais j’aime beaucoup moins. Pas besoin de piles, elle se recharge sur sa petite base tactile. Niveau sécurité, pas de crainte de surchauffe puisqu’il s’agit de led. Il y a même une fonction berceuse assez sympa.

Points faibles :
– a vraiment besoin de 7 heures pour se recharger (donc si tu oublies de la remettre sur son socle, tu peux trouver une autre solution pour le soir…)
– volume de la berceuse un chouillas trop fort et non ajustable en plus
– un peu encombrant lors des déplacements

Points forts :
– base de recharge pratique et facile à utiliser : tu poses le pingouin dessus et hop !
– design vraiment sympa
– intensité lumineuse juste comme il faut, ni trop forte ni trop sombre.
– ne chauffe pas : bébé peut la prendre et la manipuler sans risque

Bon, j’adore le pingouin (et mon Mini Lion aussi) mais je l’ai dit : il est vraiment encombrant pour les déplacements. Alors, j’ai investi dans un 2ème produit Pabobo : la veilleuse super nomade.

Qu’a-t-elle de différent ? Plus petite, elle arbore toujours une bouille hyper mimi. Bon je vous laisse deviner de quel modèle nous avons fait l’acquisition…

Pour la super nomade, point de base tactile pour recharger, juste un câble USB qu’on peut brancher à un PC, ou relier au transformateur du téléphone portable pour ensuite se brancher sur secteur.
Il y a possibilité de choisir parmi 2 intensités lumineuses ; une pour dormir et être rassuré en cas de réveil, et une autre pour les déplacements nocturnes (au pipiroom par exemple).

La veilleuse dispose d’un mini écran LCD qui indique le niveau de batterie et le mode d’intensité lumineuse.

Voilà ce que donnent les 2 intensités lumineuses ; pas beaucoup de différences, n’est ce pas ?

L’atout majeur de cette veilleuse est son autonomie puisque Pabobo avance 200h (en mode sommeil) !!! Alors je ne suis pas allée jusqu’à chronométrer mais je pense qu’on les a largement. Eh ben oui, 200h ça représente quoi exactement ? Si on table sur un bon dormeur comme Mini Lion qui a une moyenne 12h par nuit, alors on passe 16 jours sans recharger ! Épatant non ? Bon ça, c’est si bébé ne joue pas avec les modes, car avec l’intensité plus forte, alors la batterie se vide beaucoup plus rapidement. Mais pour ce qui est de l’économie d’énergie, elle est dotée d’une autre technologie : la détection de la luminosité ambiante, ce qui lui permet de s’éteindre si la lumière de la pièce est allumée ou qu’il fait jour.

Points faibles :
– cordon d’alimentation un peu court
– les 2 intensités lumineuses ont peu de différence à l’usage mis à part la consommation d’énergie
– pas de fonction berceuse contrairement au pingouin

Points forts :
– une autonomie au top : 200 heures au maximum
– 2 niveaux de lumière : une pour la nuit ; et une un peu plus forte pour les éventuels déplacements nocturnes
– un cordon d’alimentation USB
– un format pratique
– système de détection de la luminosité
– pas de surchauffe du produit puisqu’il s’agit là encore de led

Me voilà comblée niveau veilleuses. J’ai 2 produits qui correspondent bien à l’ensemble de mes attentes. En plus, pour le moment je ne peux témoigner d’aucun problème. Pour moi, ce sont vraiment des produits fiables et de qualité.

Si tu es intéressé(e), tu peux en trouver un peu partout (web, magasin de puériculture, etc.) ; mais si tu cherches la bonne affaire, alors tu peux régulièrement en faire l’acquisition sur les sites de ventes privées.

Et toi, tu es satisfait(e) de tes veilleuses ? Pour quel(le) modèle / marque as tu opté ?

Prévention soleil et test t-shirt anti-UV Mayo Parasol

Mon Jules et moi avons beau avoir une peau plutôt mate, qui prend facilement le soleil, je pars du principe que mon Mini Lion n’en a pas forcément hérité. De toutes façons, toutes les peaux de bébé sont fragiles et méritent d’être protégées.

Mais en tant que parents, on est parfois mal informés. D’ailleurs, si on ne fait pas soi-même la démarche, on est pas informé du tout.

Alors, quelles sont les règles à respecter ?

1. Pour les bébés âgés de moins d’un an, on évite toute exposition au soleil. Leur épiderme est très fragile, il est plus fin et moins lubrifié que celui des adultes. Il ne remplit donc pas pleinement son rôle de filtre.
2. Si l’enfant est plus grand, on fuit l’horaire 12h -16h où les rayons sont les plus agressifs. En plus, pour moi, ça ne pose aucun problème, entre l’heure du repas et l’heure de la sieste, c’est pas vraiment mon créneau préféré pour prendre un bain de soleil… ;b
3. Niveau habillement, on choisit des vêtements clairs, les plus couvrants possibles (ou encore mieux, des vêtements anti-UV) . Bon, moi, j’ai un radiateur sur pattes, donc autant vous dire qu’il est impossible de lui faire porter des manches longues ou des t-shirts à col montant lorsqu’il fait chaud…
4. On n’oublie pas les lunettes de soleil (cf mon dernier article) et on opte pour un chapeau à bords larges plutôt qu’une casquette ; comme ça, bébé est couvert au maximum.
5. On applique de la crème solaire indice 50 sur toutes les zones découvertes. On n’hésite pas à en mettre une bonne plâtrée, et surtout à renouveler toutes les 2 heures.

Grâce à ces quelques recommandations, ton petit trésor devrait éviter les coups de soleil, et surtout diminuer son risque de contracter un cancer de la peau à l’âge adulte.

Pour mon expérience personnelle, nous sommes partis en vacances en Ardèche, l’année dernière, quand Mini Lion avait encore moins d’un an. J’avais quand même fait l’acquisition d’un t-shirt anti-UV, trouvé à l’époque chez la Halle aux Vêtements pour un prix tout à fait raisonnable. Je n’ai jamais opté pour la combinaison, rapport au changement de couches. Ce n’est déjà pas drôle et pas forcément pratique de lui changer la couche quand on est en vadrouille, mais alors lorsqu’en plus, il faut enlever et remettre une combinaison, non merci ! En tout cas, pour les peu de fois où nous l’avons « exposé », ça a très bien été.

Cette année, les vacances ont été partagées en 2 endroits, 2 plages différentes : en Hérault et en Vendée. Ce qui a compliqué la donne, c’est que la première moitié des vacances est arrivé très tôt, début Juin, avant que les magasins ne s’approvisionnent en habits anti-UV. Bon, il y avait bien Décathlon, mais en y allant, je n’ai trouvé que des combinaisons à la taille de mon Mini Lion. Donc bye-bye !

Je me suis donc tournée vers internet, et vers une marque que j’avais croisée sur quelques ventes privées, sans vraiment m’y intéresser : MayoParasol. Ils se disent être le spécialiste français du vêtement anti-UV depuis 2001. Bon là, je reste sceptique, mais ce qui est sûr, c’est qu’ils ont du choix, avec des designs sympas. En plus, depuis peu, ils ont sorti un t-shirt sans col montant, donc plus confortable pour mon Mini Lion.

Voici un des modèles :

Points faibles :

– le col a tendance à s’ouvrir un peu lors de l’utilisation. Il faut donc bien penser à crémer son petit chou mais surtout à bien descendre en dessous de la limite du t-shirt.

– fait très « maillot de bain« , donc difficile à porter ailleurs que sur la plage ou à la piscine si on est à cheval sur le style

– le prix : compte une trentaine d’Euros pour obtenir un t-shirt hors promotion

Points forts :

– matière microfibre très confortable et qui sèche très rapidement

– facile à enfiler et à ôter

– protège efficacement des rayons UV ; en tout cas, Mini Lion n’a pas attrapé de coup de soleil et se retrouve même avec de jolies marques de bronzage, effet « glace vanille/caramel »

– manches courtes mais quand même bien couvrantes puisqu’elles arrivaient aux coudes de Mini Lion

– des motifs sympas. En tout cas, moi j’ai craqué pour l’indémodable marinière

Je suis convaincue de l’efficacité des t-shirts anti-UV et séduite par les modèles Mayo Parasol. Mais si j’ai fait l’investissement cette année, c’est que je savais que je l’amortirai grâce à « tous » mes séjours au soleil cet été (ce qui ne sera pas le cas l’an prochain, c’est certain). Il est donc beaucoup moins probable que je fasse le même choix pour l’été prochain. Quoique, il est quand même trop chou dedans, non ?

 Et toi, qu’as-tu fait ? qu’as-tu choisi pour protéger ton bébé ?

Cloud b et ses veilleuses

Aujourd’hui, je vais parler d’une de mes marques coup de coeur : Cloud b.

Mais avant de parler de leurs produits, il faut que je vous explique notre rencontre.
Ça date de mon séjour à la maternité. Une de mes amies est passée me voir avec un paquet (chose relativement commune quand on vient d’accoucher). Au déballage, j’ai été immédiatement séduite. Couleur charmante, forme originale et attrayante, bouille craquante : c’était la Tranquil Turtle.

Mon amie, m’a de tout évidence sauvé la vie ce fameux jour. C’était à l’origine un cadeau pour Mini Lion, mais elle nous a servi et nous sert toujours à tous les 2.
J’étais (et reste, mais je me soigne) une maman hyper stressée et j’avais beaucoup de mal à me calmer le soir (après le départ de mon Jules) et à dormir.
Eh bien 10 mn de cette merveille et me voilà partie au pays des songes dans un état quasi zen (bon j’avoue, j’en rajoute un peu mais plus de crise d’angoisse en tout cas).

Alors que fait elle ? Eh bien tout d’abord, elle projette une lumière bleutée autour d’elle qui reproduit des reflets d’eau. On peut choisir d’ajouter du mouvement, auquel cas, on dirait que les reflets proviennent de vagues. Sinon, la lumière peut tout à fait rester statique. De plus, on peut régler l’intensité lumineuse via une mollette au dos de la tortue.

Pour ce qui est du son, il y a le choix entre 2 enregistrements : une douce mélodie jouée sur fond d’environnement aquatique (vague, mouette) ou, simplement le bruit des vagues.

Je voudrais féliciter Cloud b pour la qualité de la bande son car le problème, en général sur ce genre de produit, c’est qu’on identifie la fin de la « chanson » et le retour au début. Quand c’est le cas, je ne sais pas pour toi, mais perso, ça a plus le don de m’agacer que de m’apaiser car je ne me focalise plus que sur CE moment où tout reprend du début. Or dans notre cas, le raccord a été fait avec finesse, ça qui fait qu’on ne s’ en rend quasiment pas compte. La bande son dure exactement 23 minutes, ce qui est censé correspondre à un cycle d’endormissement. On peut, bien évidemment, régler le volume également.

Elle dispose d’un bouton « ON/OFF« , à l’arrière, camouflé, qui permet de la transporter sans qu’elle se mette en marche et qu’on bousille les piles pour qu’elle apaise notre sac de voyage…

Pour notre part, elle nous sert de veilleuse de voyage, et lorsqu’on est à la maison, elle est sur ma table de chevet (à la maison Mini Lion dispose déjà d’une multitude de veilleuses sons et lumières). Par contre, je n’ai encore rien trouvé de plus efficace pour m’aider à me rendormir quand Mini Lion a décidé de faire une petite crise en milieu de nuit. Côté piles, je la trouve très raisonnable, depuis que nous l’avons, nous avons dû changer les piles 2 fois ; et la 1ère année, elle a fonctionné tous les jours, et même plusieurs fois par jour.

Comme je suis réellement tombée amoureuse de cette tortue, et plus largement de la marque, c’est tout naturellement que j’ai fait l’acquisition d’un 2ème modèle lors des soldes. Et donc le Sleep Sheep a débarqué à la maison !

Pour sa part, il ne produit aucune lumière mais dispose de 4 sons différents : battements de coeur (que je trouve un peu stressant), pluie, bruit de vagues (mon préféré), chant de baleines.

Il y a 2 choix pour la minuterie : 20 mn ou 45 mn (pour les bébés les plus récalcitrants) ; et une mollette permet d’ajuster le volume. Il dispose d’une boucle en scratch qui permet de l’accrocher où on le désire. Chez nous, c’est sur le lit de Mini Lion, bien sûr !

D’ailleurs, en parlant de Mini Lion, tu pourrais me demander : « Et lui ? Il en pense quoi ? »

Eh bien, il les A-DO-RE !

Pour ma part, si t’as pas encore compris, je suis trop fan ! Et là, il y a quelques mois, j’ai découvert leur nouveau produit : la Twinkling Firefly Frog.

Elle est pas trop belle ??? Depuis sa sortie, elle me fait de l’oeil, mais je me dis que quand même, Mini Lion a assez de veilleuses… Dieu seul sait combien de temps je résisterai à la tentation !